4 mars 2014
La semaine passée, deux journalistes britanniques du Guardian faisaient état d’une surveillance des services secrets du GCHQ par le biais de webcams de 1,8 millions d’usagers. Après la récente affaire de surveillance dans un aéroport canadien, on s’interroge sur les obligations d’imputabilité des services de surveillance nationaux. Sur l’idée de surveiller davantage les surveillants. J’ai le plaisir d’en parler à l’émission L’heure de pointe à Toronto avec Line Boily.
Ce contenu a été mis à jour le 4 mars 2014 à 17 h 56 min.